Dans un monde de plus en plus conscient des enjeux écologiques et de la préservation de l’environnement, le métier d’éco-conseiller est très recherché. Certains secteurs d’activités bien précis en ont spécifiquement besoin tels qu’en agriculture et en chimie. Un éco-conseiller est aussi appelé Conseiller en environnement ou Ingénieur éco-concepteur. Et bien sûr, comme pour tous les métiers d’avenir, si vous embrassez ce métier-ci, vous êtes promis à une évolution de carrière. Votre expérience, expertise et années de travail compteront pour vous amener à des responsabilités grandissantes, notamment en tant que Spécialiste référent sur un sujet précis.

Compétences et formations requises pour devenir éco-conseiller

Pour accéder au poste d’éco-conseiller, il vous connaitre parfaitement les normes ISO 9000 et serie 14 000. Il est également important que vous déteniez une solide culture générale en environnement et particulièrement sur les normes en vigueur dans ce domaine et les aspects techniques. Côté formation, pour briguer le poste d’éco-conseiller, il vous faut obtenir un master spécialisé en analyse et environnement, un master pro, une formation professionnalisante d’éco-conseiller option écologie et société. Ou un BTS métiers de l’eau ou un BTS Hygiène, propreté et environnement. Ou encore un BTSA gestion et maîtrise de l’eau.

Vos missions si vous devenez éco-conseiller

En tant qu’éco-conseiller, vous aurez de multiples missions. Principalement, vous serez chargé de l’élimination, du recyclage et du traitement des déchets. Votre rôle consiste à protéger l’environnement, à l’amélioration du cadre de vie. Vous vous occuperez de gérer l’énergie et le transport. La mise en œuvre du développement durable exigera de vous la mise en place d’un agenda 21. En tant qu’éco-conseiller, on vous soumettra une foule de projets, et il vous échoit d’effectuer l’analyse de l’impact de tel ou tel projet sur l’environnement, sur le milieu naturel et sur le cadre de vie.

Qu’est-ce que la Cité interdite ?

La cité interdite chinoise figure parmi les sites le plus visité dans le monde de l’art. Environ 10millions d’entrées sont recensés par an. Il s’agit d’un ensemble de palais les plus prestigieux qui se trouve en Chine. Elle a été construite entre 1406 et 1420, quatorze années de construction. C’est un grand édifice de grande renommée mondiale de par sa sculpture, son infrastructure et de ses contenus. Les souverains Kangxi, Yong Zheng et Sianlong et avec les empereurs Qing sont au centre de ce grand projet de construction. La cité est restée le lieu du pouvoir où se succèdent les empereurs Mandchous pendant près de trois siècles. Sous le règne de Qing, la plus grande part revient à la culture. Une période à laquelle les diverses formes d’expression de l’art chinois ont été mises en exergue : les arts du pinceau, la peinture, l’univers des arts décoratifs une cabine des laques la musique et l’opéra. L’excellence et le raffinement de ces arts sont encore présents comme les plus légendaires des peintres chinois du XXème siècle.

La Cité interdite accueillie à Monaco

C’est le pari osé du Grimaldi Forum Monaco d’accueillir la cité interdite à Monaco avec quelques 250 pièces d’une beauté exceptionnelle qui sont exposées dans les vitrines. Ces pièces exposées confirment l’empire de la Cité interdite. Réunis sur environ 3200m2, ces 250 trésors proviennent de la vie de la dynastie impériale chinoise. L’espace pour l’exposition est conçu par le sinologue français Jean-Paul Desroches et Wang Yuegong, directeur du département des Arts du Musée du palais impérial. L’exposition s’étale sur des vitrines moyennant des pièces céramiques en forme de cheval et d’yourte. Les Qing dynastie sont au cœur de cet événement vu qu’ils sont tout aussi bien intéressés par les arts de la guerre qu’aux arts de la science et art de la culture, la plupart des objets exposés dans la salle.

Les travaux d’expertise de la toile cadeau

Tout de suite après, le tableau fut examiné par la Conservation du Musée, le tableau représentait un pont sur la Seine avec un paysan et à l’arrière-plan deux personnages habillés de noir. Ensuite, la conservatrice du Musée d’Orsay donnera son avis, un restaurateur analysera la toile, son support. Après, des analyses plus approfondies, des radios seront encore faits par le laboratoire des Musées de France pour vérifier que ce n’est pas l’œuvre d’un faussaire. Les signatures sont vérifiées si elles appartiennent vraiment au douanier Rousseau, ainsi que les étiquettes au revers de la toile. Une fois que la toile est certifiée vraie, elle sera présentée au Musée de Laval, sans compensation ni contrepartie de la part du donateur, c’est un geste exemplaire !

La vigilance est de rigueur pour éviter les fausses toiles

Dans les années 1960-1970, la conservatrice du Musée Arts naïfs et singuliers de Laval a par erreur conservé des fausses toiles du Douanier-Rousseau. Donc pour une bonne vérification de la toile de Rousseau, on a pu voir au revers du tableau en question deux étiquettes, l’une de la Galerie Charpentier et l’autre de la Galerie A. M. Reitlinger, cette dernière a cessé ses activités voilà presque un demi-siècle. Les expertises et les analyses du tableau doivent être fiables pour éviter les désagréments qui pourraient être causés. Dernièrement, trois peintures de Rousseau ont été vendues dans le même Musée à une valeur allant de 41 000 à 500 000 Euros. On attend alors l’authenticité de la toile pour qu’elle puisse être présentée au Musée à Laval et voir également si les visiteurs affluent pour voir de visu le tableau considéré comme perdu !